Marinette CUECO, Taegon KIM, Anne LACOUTURE, Anne LAVAL, Emmanuelle MASON, Jean Pierre SCHNEIDER, Laurent SELMES, Marc RONET
Lille Art Up invite Itzhak GOLDBERG, historien d’art pour une conférence le vendredi 25 juin « Le tissage et le noeud dans l’art contemporain » (sur invitation).
Horaires d’ouverture du salon :
Mercredi 23 juin : vernissage de 16h à 22h.
Jeudi 24 juin de 11h à 19h / vendredi 25 juin de 11h à 20h / samedi 26 et dimanche 27 juin de 10h à 20h.
Evénement : Nuit de l’Art le jeudi 24 juin de 19h à 22h. Le public est invité à venir rencontrer les artistes sur notre stand.
Lille Art Up propose une carte blanche à la Galerie Univer / Colette Colla pour une exposition inédite dans le cadre de la thématique 2021 du salon, « Au fil de l’Art ».
La galerie a choisi de présenter différentes approches, certaines utilisant le textile comme médium, d’autres comme sujet, et parfois l’un et l’autre.
Marinette CUECO utilise l’entrelacs et les noeuds pour réaliser ces oeuvres végétales singulières, la nature étant à la fois son sujet et son unique medium.
Taegon KIM tisse des oeuvres en fibre optique. Si la robe présentée est spectaculaire, elle est pour lui une tentative de rapprochement à l’autre, une peau, une enveloppe imaginaire.
Laurent SELMES dessine avec une machine à coudre, le fil cousu, ligne rigoureuse et épurée est au centre, il est le dessin lui-même.
Anne LACOUTURE utilise la mémoire des uns et des autres et la couture comme assemblage. Elle construit ainsi une oeuvre au fil du temps, ou chacun peut y laisser sa trace.
Anne LAVAL tisse et enroule telle une araignée la fibre. L’accumulation et la texture de la matière transformée en brume laissent place à un paysage imaginaire.
Emmanuelle MASON pose avant tout son regard sur le monde du vivant et l’Autre. Ses recherches ont pour point commun de montrer une extrême délicatesse. Elle dessine avec du crin de cheval, du fil crocheté, un pyrographe, de la broderie, un scalpel…
Jean Pierre SCHNEIDER peint. Le textile est récurrent dans son oeuvre. En s’inspirant de l’oeuvre de Manet, il ne reste que la robe, sujet de l’oeuvre, tout comme dans celle de Cézanne ou la nappe flotte seule dans la toile.
Marc RONET dans son dernier travail a incorporé la toile de l’oeuvre à l’intérieur même de la toile. Le sujet et le support se confondent.
Itzhak GOLDBERG, historien d’art, écrit un texte pour cette exposition. Lille Art Up l’invite pour une conférence à cette occasion.