« Impossible d’éviter les métaphores quand on a affaire à l’œuvre de Jean-Paul Marcheschi. Il faut l’avouer, elle s’y prête.
Ecartant outils et matériaux employés habituellement dans le domaine artistique, l’homme utilise exclusivement le feu et la fumée, la cire et la suie, dessinant comme des empreintes en creux, créant un univers singulier, fascinant, inquiétant même.
Une œuvre à part, qui semble habitée par ce que Bachelard considérait comme un élément purificateur. Feu sacré ? »
Itzhak Golberg , Extrait du texte écrit pour l’exposition La constellation du serpent, 2014